Le roi : Il s’agirait d’un président d’un cabinet administration de biens qui vend son office bien à une structure de dimension nationale. Il resterait en place pour 5 ans maximum, mais en tant que président il n’aurait plus qu’un rôle de représentation et de supervision. Le vrai pouvoir serait bien évidemment accordé à l’acquéreur qui demanderait alors que leur organisation, politique d’offre soit appliquée. Le directeur général secondé alors par leurs directeurs s’en chargeraient.

Le président serait ainsi toujours président mais tout seul au sein de son office. Puis un jour, on va lui demander de partir. Il partira. Il ne sera rien. Il n’aura pas compris pourquoi…ou peut être qu’il ne peut accepter cette situation. Plus il sera jeune, plus il est pourra rebondir. Malheureusement, cela ne sera pas souvent le cas.

Le businessman : c’est le marchand de biens. C’est l’investisseur immobilier. Il recherche la maximisation du profit. Il est sérieux. Il n’y a que l’argent qui l’intéresse.

Le marchand : il s’agit d’un agent commercial en bien immobilier qui propose ses produits immobiliers  à des acquéreurs potentiels. Vous vous rendez compte dit le marchand, avec ce bien immobilier vous allez gagner du temps, de l’argent, et de la sérénité. Le petit prince pourrait répondre : « Moi avec un peu de temps et d’argent et de temps, je lirai des livres sur la philosophie, la science, l’histoire ou encore la sociologie ».

Le buveur : Il est sorti du monde. Il représente à lui seul les professionnels qui certains usés, d’autres fatigués n’ont plus d’envie.

L’allumeur de réverbère :  Il s’agit du ramoneur. La consigne veut que chaque cheminée fasse l’objet d’un entretien régulier. Ainsi, il intervient et fait ce qu’il à faire. Aux occupants qu’il lui répète que la cheminée n’est jamais utilisée, il rétorque, c’est la consigne !

L’aiguilleur : c’est le manager de vendeurs de biens en immobilier. Ils arrivent…puis ils repartent. Et d’autres arrivent…ainsi de suite… « ils ne sont jamais contents » pourrait-il dire, le manager.

Le renard : il demande à être apprivoisé tel un candidat qui souhaite être recruté en C.D.I. Dans l’histoire, le petit prince s’en va. Dans la vraie vie, le candidat souhaite être embauché à vie. Mais pas seulement, il souhaite être épanoui et que l’entreprise réponde à ses besoins présents à venir : la pénibilité, l’augmentation du niveau de la vie…Les CDI se font rares ; Cette vision est illusoire. Ces entreprises dites paternalistes n’existent plus. Il devra vivre la vie autrement.

Le cartographe : c’est la protection juridique lambda qui ne se déplace jamais sur les lieux pour vérifier un fait par exemple  et qui se permet de mettre en cause la responsabilité du syndicat des copropriétaires ; sa  connaissance ne sera que partielle avec cette méthode employée.

Le serpent :  La morsure du serpent sur le petit prince représente la fin, quand il n’y a plus d’envie. Le petit prince s’en retourne dans les étoiles, et rejoindra l’enveloppe humaine que représente le pilote parce qu’ils ne font qu’un.